Un petit some? {Prio Cuddy

{Prio à Liza Cuddy

-En consultation House…

-je dois y aller…

-Consultation, tout de suite !

House soupira, sa patronne ne lâcherait jamais l’affaire et il le savait bien…Malheureusement et comme tout les jours, Gregory n’avait pas du tout envie d’aller faire ses consultation, ça l’ennuyait au plus au point et comme tout ce qu’il n’avait pas envie, Gregory ne faisait pas…Il n’était pas question, malgré la voix criarde de Cuddy qui résonnait dans ses oreilles qu’il aille les faire…de tout façon, elle ne le virerait jamais…Elle avait trop besoin de lui dans cet hôpital ou peut être qu’elle l’aimait trop aussi en tout cas House s’amusait à le penser, c’était vrai qu’ensemble ils avaient de sacré jeu, et puis bon il ne déplairait pas à House de retourner une fois dans son lit, il fallait bel et bien l’avouer…La dernière fois, c’était il y’a tellement longtemps, peu après l’université…Et l’envie de retoucher les courbes bien généreuse de la magnifique doyenne de l’hôpital ne le dérangerait nullement, il fallait bien l’avouer quant à son côté chieur…Bah il ferait avec pour une nuit…De toute façon il n’avait pas grand-chose à perdre…

-House ! Arrêtez de rêver, consultation, tout de suite !

Pire qu’un bulldozer cette femme, non mais franchement…Comment pouvait elle être aussi acharné contre un seul homme et surtout contre lui en cette belle matinée de janvier de juin…Il faisait bien chaud, il faisait beau et House n’avait qu’une envie : être affalé chez lui avec sa console de jeu ou alors devant un film porno…A moins qu’il y ait un cas intéressant à résoudre ce qui ne semblait pas être le cas…Il fléchit sous le regard de sa patronne et s’appuyant sur sa canne, il fit demis tour et se dirigea vers les ascenseurs…S’appuyant bien fort sur sa canne, il entra dans l’engin et appuya sur la quatrième étage : pas question qu’il aille au consultation maintenant. Sa douleur revenait et il goba deux comprimés alors qu’il se dirigeait vers la cafétéria…
Son estomac criait famine : il mourrait d’envie d’un paquet de chips…Il sortit de sa poche cinq dollars qu’il avait volé à Wilson : il adorait faire ça…et surtout observer par la suite son ami s’énerver à chercher son argent avant de comprendre que si il avait disparut cela ne pouvait être que parce que Lui, Gregory House était passé par là…La vie n’était qu’un jeu pour lui, tout l’amusait, un vrai gosse, c’était peut être sa façon à lui de ne pas sombrer dans le malheur total et dans le noir…Et d’oublier son tumultueux passé. Il secoua la tête : pourquoi pensait il à cela là maintenant alors qu’il avait un paquet de chips ketchup en main ? Il paya la caissière, après avoir jeté un coup d’œil amusé à cette femme exaspéré qui n’en pouvait plus de voir House regarder légèrement dans son décolleté…Il adorait faire ça mais bien plus avec Cuddy que les autres…Cuddy…c’était tout une histoire…Encore une fois il secoua la tête et alla s’asseoir à une chaise pour avaler son paquet de chips.

Une fois celui-ci vide, il se dit qu’il ferait mieux d’aller en consultation, si Cuddy passait voir le registre et qu’elle ne voyait pas son nom, il allait encore avoir droit à une scène et bien que cela l’amusait il ne fallait pas trop jouer avec le feu…Se redressant, il attrapa sa canne et se mit à boiter vers l’ascenseur, au bout de dix minutes, il se trouvait en bas. Il entra dans la salle d’attente et cria d’une voix forte :

-Onze heure, le docteur House arrive au consultation…

Tout le monde se tourna vers lui comme d’habitude, il fit un clin d’œil à l’infirmière qui roula des yeux et il se dirigea vers le coin où étaient agglutiné des gens qui n’avaient sûrement rien de plus qu’un rhinovirus à savoir un rhum…Prenant appuie sur sa canne, il sortit son flacon de vicodine et devant les patient avala deux cachets, il adorait voir leur figure étonné à ce moment là…Au bout de deux minutes de silence il lâcha un bref :

-Je suis en salle n°1 que personne ne vienne me déranger…

IL partit alors, clopinant et une fois la porte bien fermée derrière lui, il se coucha sur la table d’examination et ferma les yeux…Il n’avait pas beaucoup dormis cette nuit, si quelqu’un lui demanderait pourquoi il dirait une call girl, la vérité était qu’il avait eut excessivement mal à sa jambe, c’était de pire en pire ces temps-ci. Il ferma les yeux et se retourna, ne se doutant nullement que dans dix minutes, il serait réveillé par le claquement de la porte…

-Ah quelle belle journée !

Lisa venait tout juste de garer sa voiture devant le panneau qui était prévu pour signaler la place qui lui était réservée, lorsqu’elle mit le pied en plein dans une déjection d’animal non identifié mais d’après la couleur et la taille, elle en déduit qu’il s’agissait en autre d’une crotte de chien. La séduisante directrice posa ses dossiers sur le toit de sa voiture puis attrapa un mouchoir dans son sac à main. Habillement elle ôta cette tâche brune d’en-dessous de son talon aiguille, ne voulant pas attirer les regards à cause d’une odeur infecte !

Satisfaite, le Dr Cuddy reprit ses dossiers sous son bras, ferma sa voiture à clefs et jeta le mouchoir dans l’une des poubelles qui se trouvait le long du chemin en pavé qui menait jusqu’à l’entrée de son hôpital. Avant de pousser la grande porte, Lisa s’arrêta une seconde devant ce reflet d’elle-même qu’elle voyait dans le vitrage de l’entrée. Vêtue de son habituel tailleur rose avec le chemisier décolleté coordonné qui allait avec et coiffée naturellement en ayant laissé ses cheveux marron onduler le long de sa nuque et de son dos ; elle s’admirait. Un léger sourire apparut sur ses fines lèvres légèrement rosées par un rouge à lèvre, puis elle entre enfin. Ses pas la guidèrent automatiquement devant l’accueil, où elle déposa les dossiers qu’elle avait pris soin de rédiger la veille pour en prendre à présent de nouveaux.

Elle alla ensuite sans plus tarder rejoindre son bureau, déposant enfin toutes ses affaires. Ôtant sa veste rose pour la mettre sur sa chaise, Lisa se versa une tasse de café et s’installa ensuite. La séduisante femme leva subitement les yeux alors qu’elle avalé une gorgée de café, lorsqu’elle vit une silhouette qu’elle ne connaissait que trop bien traînait au mauvais endroit. Ne voulant pas laisser ce troll allait plus loin, Lisa se leva précipitamment pour le rattraper.

-En consultation House…

-Je dois y aller…

-Consultation, tout de suite !

Lisa posa ses mains frêles et fines sur ses hanches, balançant ses cheveux bruns en arrière dans un geste des plus gracieux et délicats, regardant maintenant l’homme le plus désagréable de tout l’hôpital. Il fallait, une nouvelle fois, qu’il vienne la défier en allant autre part que les salles d’examen. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi House s’obstinait autant à l’énerver de la sorte…avait-il toujours seize ans ?! Ne le voyant pas bouger, Lisa se sentit dans l’obligation de lui rappeler son programme :

-House ! Arrêtez de rêver, consultation, tout de suite !

Le Dr Cuddy lui adressa un dernier regard, puis lui tourna le dos pour retourner à ses tâches administratives, tout en prenant bien soin de rouler des fesses comme elle aimait le faire à chaque fois lorsqu’elle se trouvait en présence de House. Elle ne savait pas pourquoi elle agissait comme ça…c’était un moyen de le faire également rager puisqu’il ne pourrait que regarder et jamais plus. Souriant triomphalement en voyant House se diriger vers l’ascenseur, Lisa se replongea dans son dossier. Elle devait vérifier un cas prêt pour une greffe de cœur, qui attendait depuis deux mois. Elle s’assurait que tout était parfait et compatible, ne voulant pas que son patient meurt à cause d’une faute d’inattention.

-Onze heure, le docteur House arrive au consultation…

Elle sursauta soudainement en entendant ce cri, puis posa violemment son stylo sur son bureau. Lisa leva les yeux et vit House.

-Je suis en salle n°1 que personne ne vienne me déranger…

C’en était trop. La doyenne de l’hôpital leva ses fesses de son confortable fauteuil en cuir, agacée du comportement du Dr House qui se permettait des choses justement inacceptables, comme toujours. Il était à peine le matin et il fallait qu’il commence son petit jeu. Lisa traversa le hall, pour se diriger vers l’endroit où le docteur s’était réfugié. Elle déboula en trombe, faisant claquer la porte. La directrice se plaça devant House, posant une nouvelle fois ses mains sur ses hanches fines et gracieuses, lui adressant un regard noir.

-HOUSE ! Je ne vous paye en aucun cas pour que vous vous rouliez les pouces alors que des gens malades attendent une consultation !

Remettant une mèche ondulée qui tomba sur ses yeux, Lisa ne quitta pas pour autant les yeux si bleus de Gregory. Elle croisa alors ses deux bras contre sa poitrine, prenant un air sévère.

-Si vous n’y allez pas tout de suite House, je vous en colle 3heures de plus…juste parce que je sais que vous adorez excessivement vous occupez de personnes malades…

Pure ironie. Elle lui adressa un sourire moqueur. Sa voix était malicieuse. Son air était goguenard. Aucun doute, Lisa se moquait ouvertement de lui en lui infligeant de surcroît trois heures de plus en consultation s’il ne voulait pas bouger ses fesses. Elle, elle restait toujours devant lui en le regardant de la même façon et ce sourire moqueur sur ses lèvres y était toujours logé.

-Peut-être que vous devriez arrêter vos call-girls, vous seriez dans un meilleur état pour faire votre métier House ! Achetez-vous donc un chien…vous vous occuperez mutuellement l’un de l’autre tien.

Le Dr Cuddy accentua son sourire, laissant voir ses dents blanches. Elle jubilait intérieurement suite à ce qu’elle venait de dire. Bien qu’elle savait qu’elle allait avoir droit à tout un tas de répliques qu’il allait sûrement détourner pour avoir la tête et surtout le dernier mot. Oui, elle le savait aussi, House adorait avoir le dernier mot.

-Oh House, vous êtes si bon...

La jolie doctoresse venant de le poussé un peu plus loin sur le bureau, collant sa poitrine à lui...Elle l'allumait et House se laissait faire sans aucun problème, bien au contraire. Il passa alors doucement ses mains sous ses fesses tandis que la femme se collait encore un peu plus...

-Cuddy vous êtes sur...

C'est lui qui émétait des réserves maintenant? Depuis le temps qu'il attendant à nouveau cela, pourquoi est ce que maintenant qu'il l'avait à porté de main, il s'embêtait avec des broutilles?

-Taisez-vous House...

Elle se pencha et l'embrassa alors langoureusement...

CLAC...Une bruit de porte le sortit de son doux rêve...Et bien oui, il était venu ici pour dormir et non pas pour travailler alors évidemment qu'il avait rêvé et pas qu'un peu d'ailleurs. Il se redressa, légèrement déboussollé et regarda autours de lui tandis qu'il frottait ses yeux...Qui se portèrent d'ailleurs tout de suite sur la personne qui venait d'entrée...Il lui aurait bien crier dessus, sortit un truc bien froid et méchant qui aurait remis celui qui avait oser le déranger mais lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait de sa douce et magnifique ATCHOUM patronne, il se revisa..Se contentant finalement d'afficher un petit sourire parfaitement innocent sur son visage...Sourire qui laissait croire qu'il ne savait absolument pas ce qu'il avait fait de mal...La situation qui pourtait avait l'air pleine de venin risquait de bien l'amuser et bien quoi? Il venait de perdre un super rêve dans lequel Cuddy, ici présente, allait presque se déshabiller...Il avait bien le droite de rigoler et de s'amuser un peu en échange de

cela non?

-House!

-Ah je me disais bien que si vous ma caliniez autant...ça ne pouvait être que dans un rêve...Froide vipère que vous êtes...

Il essaya tant bien que mal de se rattraper, de rigoler avec ce qu'il avait sous la main...Un sourire goguenard affiché sur les lèvres, il fixait celle de Cuddy avait envie tandis qu'elle n'avait pas l'air d'apprécier de le retrouver là, en train de dormir...Mais pourtant elle ne fit pas attention à son sarcasme...Liza était de celle à ne plus faire attention aux lubies de House, elle ne l'écoutait plus, comme si il n'existait pas quand il faisait ce genre de remarque mais il savait que ça la touchait, que ça l'amusait car souvent, elle y répondait quand même...ne fuse que par jeu et ou par pur provocation. cela avait toujours été ainsi entre eux et ce n'était certainement pas aujourd'hui que cela allait changer et bien heureusement d'ailleurs...IL ne manquerait plus que ça. House tenait vraiment énormément à leurs petites joutes verbales mais il faudrait le torturer pour qu'il avoue...

-Ne vous paye en aucun cas pour que vous vous rouliez les pouces alors que des gens malades attendent une consultation !

-Ah Bon? J'étais pourtant persuadé que c'était pour ça que je recevait un cheque en fin de mois...heureusement d'ailleurs parce que Ma Call Girl a augmenter ses tarifs...

IL lui fit un petit clin d'oeil sur la fin...Il ne pouvait s'empêcher de faire ce genre de remarque, c'était plus fort que lui. il aimai voir la réaction des gens, comment ils réagissaient face à la brusque vérité qu'il leur lâchait au visage...House n'avait pris de Call Girl qu'une ou deux fois dans sa vie dans des moments d'extrème solitude mais dans l'absolue il trouvait ça très nul et pathétique de faire cela mais sachant que cela existait vraiment...IL aimait voir la réaction des gens, lire dans leur regards ce qu'il pensait d'une information qui était fausse par dessus tout. Cuddy et Wilson le savait que c'était des cracs et n'y faisaient plus tellement attention, se contentant de balancer une petite vanne de temps en temps mais cela s'arrêtait là...

-Si vous n’y allez pas tout de suite House, je vous en colle 3heures de plus…juste parce que je sais que vous adorez excessivement vous occupez de personnes malades…

-Vous ne pouvez pas faire cela...Vous m'aimez trop pour me torturer,

dit il en prenant un ton larmoyant qui ne lui allait pas du tout.

Il adorait faire cela...Jouer la petite victime pour énerver Cuddy...Sourtout que malgré le regard exégéré et moqueur, elle ne pouvait s'empécher de craquer bien souvent....Allez savoir pourquoi...House avait un pouvoir sur Cuddy et Cuddy avait un pouvoir sur House. dans l'absolu, ils étaient à éxéquo mais jamais il ne vous le dira...Il a trop d'égo, un égo surdimensionné d'ailleurs pour admettre une telle chose et puis à quoi bon. Il n'y aurait plus de jeu alors et c'était vraiment cela...Faire plier Cuddy représentait un défi...les défi étaient amusants pour House car ils rendaient la vie moins ennuyante qu'elle ne l'était et ce n'était pas un petit boulot...

-Peut-être que vous devriez arrêter vos call-girls, vous seriez dans un meilleur état pour faire votre métier House ! Achetez-vous donc un chien…vous vous occuperez mutuellement l’un de l’autre tien.

-Seriez vous jalouse, Docteur Cuddy...mais ne vous inquiétez pas...Vous êtes la suivant sur la liste d'attente pour mon lit, si vous voulez...je vous fait un passe direct...

Il adorait faire ça, la provoquer, l'allumer autant qu'elle l'allumait en fait...Il adorait jouer ainsi avec elle...ET il adorait qu'elle joue ainsi avec lui parce qu'au final ils savaient tous les deux bien que cela n'avait qu'un seul but: de se draguer mais aucun deux n'oserait un jour avouer quoi que ce sont...Ils se contenteront de dire des choses comme par exemple "ce que Cuddy m'énerve" et dans l'autre sens "House et ses remarques j'en ai marre"...mais dans le fonds ils adorent ça...
House lui lança alors un petit sourire espiègle...Il avait hâte d'entendre sa réponse parce que si cela partait sur le terrain du sexe, la joute rirsque d'être bien marrante...Comme d'habitude...

-Ah je me disais bien que si vous me câliniez autant...ça ne pouvait qu'être que dans un rêve...Froide vipère que vous êtes...Ah Bon? J'étais pourtant persuadé que c'était pour ça que je recevais un cheque en fin de mois...heureusement d'ailleurs parce que Ma Call Girl à augmenter ses tarifs...

Sa Call Girl ? Non mais il n’arrêterait donc jamais de parler de cette personne qui n’existait pas ? Voilà bien des années que le Dr House se vente d’engager une Call Girl, bien que Lisa ait fini par comprendre qu’il l’inventait entièrement, jusqu’à son soutien-gorge. Cuddy se contenta de souffler d’exaspération lorsqu’il lui fit cette remarque, comme à chaque fois. Elle ne voulait même pas se donner la peine de répliquer…il la fatiguer avec ses mêmes blagues. Elle le regardait donc toujours de son même air sévère, gardant en même temps ses deux mains sur ses hanches.

- Vous ne pouvez pas faire cela...Vous m'aimez trop pour me torturer.

Cuddy se mit alors à s’étouffer, suite à cette réplique qui sonnait merveilleusement bien fausse. Elle toussa ensuite, puis regarda House droit dans les yeux avec un sourcil levé.

-Oh mais qui vous a dit que je vous aimais ?

Lisa balança ensuite sa tête de gauche à droite, toujours étonné des imbécilités que seul House était capable de trouver. Elle trouvait ceci d’un côté vraiment pitoyable avec ses airs de gamins…mais d’un autre, elle devait avouer qu’elle trouvait aussi ceci divertissant. Sa vie ne serait certainement plus la même sans House dans le même hôpital qu’elle…bien que parfois elle aimerait se passer de lui.

-House filez vous occupez des patients malades sinon c’est moi qui vais m’occuper de vous ! Mais malheureusement pas dans le même sens pervers que vous…

Elle avait bien fait de préciser ceci. Il était connu que ce médecin qu’elle avait en face de lui était un pervers jusqu’à la moelle. Il ne cessait de regarder son fessier lorsqu’elle passait devant lui, ou alors ses yeux bleus tombaient bien trop souvent dans ses décolletés. Lisa lui répliqua par la suite qu’il ferait mieux de se prendre un chien…pour qu’ils puissent tous deux avoir de la compagnie.

-Seriez vous jalouse, Docteur Cuddy...mais ne vous inquiétez pas...Vous êtes la suivant sur la liste d'attente pour mon lit, si vous voulez...je vous fais un passe direct...

Encore de la provocation. Et de la belle cette fois…Il lui proposait carrément d’entrer dans son lit pour une nuit où tous deux ne dormiraient presque pas du tout…trop occupés à d’autres occupations évidemment. Cette remarque de House fit rire doucement la jolie femme, se demandant comment il pouvait dire ça à sa patronne. Elle le regarda donc, souriant malicieusement jusqu’aux oreilles.

-Ce n’est pas parce que vous fantasmez sur moi House, qu’il en va de même pour moi à propos de vous. Et puis qui vous dit que je ne suis pas seule ?

Lisa passa ses mains de nouveau contre sa poitrine, la faisant légèrement surélevée. Ses yeux chocolat étaient toujours posés sur ceux du prestigieux docteur House. Il était vrai que depuis quelques temps, une semaine précisément, un jeune infirmier faisait des débuts d’avance à sa patronne. House avait sûrement déjà aperçu la scène…il voyait tout cet homme-là ! Il se permettait aussi de débarquer chez elle lorsqu’il savait qu’elle recevait des hommes, rien que pour les faire fuir et l’avoir de nouveau…A croire qu’il était vraiment attaché à elle.

-Autre chose ? Parce que je vous signale que des patients vous attendent mon cher…

Dr Cuddy avait dit ceci tout en joignant les paroles aux gestes en se déplaçant dans la salle pour rejoindre la porte, où sa main se posa sur la poignée. Elle tourna cependant la tête vers l’homme assit sur le lit.

-Et arrêtez donc de rêver de moi lorsque vous êtes ici…je suis sûre que vous m’avez une nouvelle fois sous-estimez dans votre rêve…

Lisa lui fi à présent un clin d’œil tout en lui adressant un sourire des plus malicieux qui soient. Elle savait qu’il avait rêvait d’elle, puisqu’il s’était vendu juste avant. La doyenne de l’hôpital lui lançait juste une remarque comme lui le faisait, pour s’amuser un peu malgré tout.

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